Avec cette pièce, Esther Brinkmann invente une énième nouvelle façon de porter une bague. Ici, c'est par le fil que l'objet tient sur le doigt : une chaussette de soie moulurée qui s'enfile comme un pull serré, mais que l'on sent à peine, et le miracle s'accomplit... le long volume du précieux métal tient au doigt sans le toucher, libre comme l'air : seul l'ongle dépasse encore, tel le battant d'une cloche prête à sonner.
Avec cette pièce, Esther Brinkmann invente une énième nouvelle façon de porter une bague. Ici, c'est par le fil que l'objet tient sur le doigt : une chaussette de soie moulurée qui s'enfile comme un pull serré, mais que l'on sent à peine, et le miracle s'accomplit... le long volume du précieux métal tient au doigt sans le toucher, libre comme l'air : seul l'ongle dépasse encore, tel le battant d'une cloche prête à sonner.