''Là est Minos horriblement qui grince'' est le deuxième volet du diptyque intitulé Electronick Nozati. Son réalisateur précise à son propos : « les deux bandes retracent le mythe d'Electronick Nozati et s'inscrivent dans le travail d'archéologie électronique que je dirige sur la planète ORAGE depuis plusieurs années déjà. Ce travail aboutit à la reconstitution de plusieurs fragments qui permettent maintenant de nous faire une idée de la mythologie de la planète ». D'après le comité d'organisation, la première bande « ELECTRE ANNICK », évoque « la naissance, le surgissement de la grotte et la traversée du monde terrestre », alors que ''Là est Minos horriblement qui grince'' fait probablement allusion à « un voyage au pays de la mort et la transfiguration ».
Alem Araya